mercredi 2 juillet 2025

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L’heure des prédateurs. Pour La Lettre du Prieuré N°16.
 

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Face au mur, devant l’impasse, … trouver la faille par laquelle … une goutte de lumière sera déposée… Pour La Lettre du Prieuré N°16.
 

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L’Évangile n’est pas achevé. Pour La Lettre du Prieuré N°16.
 

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Entendre, en même temps, le cri de la terre et le cri des pauvres. Pour La Lettre du Prieuré N°16.
 

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Moins est plus. Pour La Lettre du Prieuré N°16.
 

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Comment dire notre gratitude à la terre ? Pour La Lettre du Prieuré N°16.
 

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Toute distance nous rapproche. Pour La Lettre du Prieuré N°16.  

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Cette chambre des larmes est beaucoup trop petite pour accueillir tous les drames actuels du monde. Pour La Lettre du Prieuré N°16 
 

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Illustration du thème d'année "Attendu/Inattendu" pour La Lettre du Prieuré N°16 
 

lundi 26 mai 2025

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Paris, c'était tout ce qui brillait. J'ai rencontré le contraire. Elina Dumont au Prieuré.
 

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Je voulais apprendre à changer l'eau en vin. Elina Dumont au Prieuré.
 

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Longtemps, j'ai habité dehors.Elina Dumont au Prieuré.
 

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Le deuil, c'est comme un sparadrap qu'il faut enlever pour soigner la blessure. Jasmina Douieb au Prieuré.

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Entre chien et loup, l'heure du jour que je préfère. Jasmina Douieb au Prieuré.
 

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Je crois être une mauvaise d'élève du deuil. Jasmina Douieb au Prieuré.
 

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Dans toute nuit, il y a des traînées de lumière. Élie Barnavi au Prieuré.
 

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Trump et d'autres. Des psychopathes auxquels je ne serrerai pas la main. Élie Barnavi au Prieuré.
 

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L'usage de la religion comme idéologie. Élie Barnavi au Prieuré.